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     Assasin's Creed Unity (conseille)

     Le joueur incarne Arno Victor Dorian2, un          jeune homme hanté par une terrible tragédie et qui s'est enrôlé chez les Assassins pour combattre la corruption qui gangrène la France, au temps de la Révolution française3. Il fait partie d'un nouveau type d'assassin, utilisant la « Phantom Blade », une arbalète à courte portée attachée au poignet, sur le modèle des lames cachées. Ces mêmes lames cachées sont toujours présentes, mais intégrées dans le système d'arbalète.

    Le titre « Unity » est également révélateur des idées des développeurs : dans une bande-annonce parue au mois de juillet 2014, on voit Arno fendre la foule pour sauver un personnage de la guillotine, Élise de la Serre, qui est une héritière des Templiers4 ; tous deux affrontent alors la milice révolutionnaire de la Terreur, « unis » face à l'ennemi. On peut donc penser qu'une alliance de circonstance va se former entre les deux factions ennemies, afin de provoquer la chute de la monarchie puis empêcher la France de sombrer définitivement dans la guerre civile, ou bien encore que cette alliance ne durera pas longtemps, du fait des idéaux totalement opposés entre Assassins et Templiers.

    Système de jeu

    Par rapport aux précédents opus, un mode infiltration permettant à Arno de se courber pour passer derrière des objets bas (bureau, muret…) fait son apparition. Le système de combat est modifié afin d'être plus tactique et difficile qu'avant, là où il était très acrobatique par le passé. Le « free-run », le mode de course qui se déclenche avec une gâchette et l'un de boutons de la manette et qui permet d'escalader de manière fluide les bâtiments et parcourir les forêts dans Assassin's Creed III, a été revu afin d'être appliqué également à la descente5. En effet, jusque là, le joueur ne pouvait que s'aider des fameuses charrettes de foin ou descendre manuellement, ce qui était peu pratique et occasionnait de nombreuses chutes.

    Un mode coopération en ligne jusqu'à quatre joueurs est introduit dans le jeu6. Ceux-ci peuvent ainsi remplir une mission en commun, comme l'élimination d'une cible. Ils peuvent s'entraider afin de la réaliser en toute discrétion ou bien profiter de leur nombre pour passer en force7,8. Les développeurs avaient pensé introduire des assassins féminins, mais l'idée a été abandonnée pour réduire le travail de production et parce que tous les joueurs incarnent le même avatar d'Arno dans le mode coopératif

     

     

     

     

     

     

     

      


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  • 11 janvier 2015. Cette date rentrera dans l'histoire. Une cinquantaine de chefs d'Etat et de gouvernement se sont rassemblés ce dimanche dans la capitale pour une marche jamais vue avec des chiffres de mobilisation jamais atteints dans le pays. Selon le ministère de l'Intérieur, le rassemblement était d'une telle ampleur qu'il sera impossible de donner un comptage officiel. En province, selon un décompte provisoire, plus de 1 million de personnes ont défilé et encore plusieurs dizaines de milliers dans les grandes capitales du monde : Berlin, Madrid, Vienne, Bruxelles, Londres. L'émotion est planétaire trois jours après les attaques terroristes où 17 personnes innocentes ont été tuées en France.    

    Une mobilisation jamais vue en France. 1,5 million àParis , deux millions ? Le ministère de l'Intérieur n'a pu donner de chiffre définitif. Le comptage officiel est impossible tant le rassemblement est d'une ampleur "sans précédent".  Dans les grandes villes de France, la aussi, la mobilisation fut historique : 300.000 à Lyon soit un quart de la population de l'agglomération, 140.000 à Bordeaux, 115.000 à Rennes, 70.000 à Grenoble, 60.000 à Marseille et Saint-Etienne. Dans certaines villes moyennes, la mobilisation fut tout simplement unique : 50.000 personnes à Saint-Etienne et 10.000... à Dammartin, le village frappé par l'attaque terroriste des frères Kouachi.

     

    Un rassemblement historique de chefs d'Etat. Vers 15h30, une cinquantaine de chefs d'Etat ont parcouru 300 mètres sur le boulevard Voltaire envoyant ainsi un message de solidarité et d'unité au monde entier face au terrorisme. La photo sera dans les livres d'histoire. 

    François Hollande, Angela Merkel, Mahmoud Abbas, Benjamin Netanyahu et d'autres chefs d'Etat et de gouvernement lors de la marche républicaine du 11 janvier à ParisLa  France applaudit ses policiers. Au sein du cortège parisien, des centaines de policiers rassemblés en cortège et en uniforme ont été applaudis avant que des milliers de manifestants n'entament une Marseillaise. Un moment d'intense fraternité.

    Hollande salue les victimes des attentats. L'urgentiste Patrick Pelloux qui tombe dans les bras du chef de l'Etat fut sans doute une des autres images fortes de cette journée destinée à rendre hommage aux victimes des attaques. Ce sont eux qui ont d'ailleurs ouvert le cortège parisien, devant le chefs d'Etat.

    "Nous sommes Charlie" : Marseillaise et drapeaux français dans le monde entier. La Marseillaise chantée à Madrid, drapeau français à Londres, manifestants "ensemble contre la haine" à Bruxelles et pancartes "Nous sommes Charlie" un peu partout: des milliers de personnes en Europe et dans le monde ont tenu dimanche à dire leur solidarité avec la France endeuillée.

    Et maintenant ? Faire fructifier ou dilapider ce moment de solidarité. L'édito de Christophe Jakubyszyn sur TF1.

     

     

     

     


    Revivez minute par minute le film de cette journée de dimanche  

    18h00. Ce direct est désormais terminé. Merci de l'avoir suivi. Les cortèges se dispersent dans la capitale. Au total, la mobilisation a dépassé 2,5 millions de personnes en France.


    17h47. 300.000 manifestants à Lyon soit un habitant de l'agglomération sur quatre. 

    17h35. Le comptage officiel à Paris est impossible. "Les manifestants sont dispersés sur un périmètre beaucoup plus large que les trajets initialement prévus", indique le ministère de l'Intérieur.  

    17h18. UN MILLION EN PROVINCE ! Les chiffres de la mobilisation montent encore en province : plus de 1 million de personnes dans toute la France selon une dernière estimation. A Rennes, le chiffre est de 115.000 manifestants, 140.000 à Bordeaux. 

    17h15. Moment marquant : un escadron de policier fend la foule sous les applaudissements très nourris des manifestants qui entament une Marseillaise. 

     

    17h12. Les images des manifestations dans le monde

     

     

    17h02. A Lyon, des dessinateurs avaient pour l'occasion édité un journal identique à Charlie Hebdo, intitulé "Charlie Héros", qu'ils distribuaient par centaines  aux manifestants, qui le brandissaient ensuite.
     

    17h00. De 1,3 à 1,5 million de personnes sont rassemblés actuellement à Paris, et plus de 600.000 en province selon des décomptes encore provisoires. 


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